samedi 28 septembre 2013

VIDEOS. Paris : trois morts dans une explosion

ILLUSTRATION. Plusieurs dizaines de pompiers ont été mobilisés à la suite d'une explosion, ce vendredi après-midi, rue d’Enghien dans le Xe arrondissement à Paris
Le Parisien.fr/Stéphane Sellami et Benoît Hasse - ILLUSTRATION. Plusieurs dizaines de pompiers ont été mobilisés à la suite d'une explosion, ce vendredi après-midi, rue d’Enghien dans le Xe arrondissement à …plus  Paris  moins 
 
Au moins trois personnes ont été tuées et une autre grièvement blessée dans une explosion, vraisemblablement accidentelle, qui s'est produite vendredi dans un garage automobile située au sous-sol d'un immeuble dans le centre de Paris.

La violente explosion s’est produite ce vendredi, vers 15 h 45, rue d’Enghien dans le Xe arrondissement. Selon nos informations, la manipulation d’une cuve de fioul pourrait être à l’origine de cette déflagration.

Les ouvriers démontaient une cuve de fioul quand une déflagration, d'origine pour l'instant indéterminée, s'est produite au premier sous-sol de cet immeuble de trois étages. Le patron du garage, qui partait à la retraite et avait vendu son établissement à la société chargée de la gestion de l'immeuble, est décédé dans l'explosion.

«L'immeuble a été entièrement évacué et les secours mettent en place des étais pour limiter tout risque d'effondrement», a confié le commandant Moulin de la BSPP (Brigade des sapeurs pompiers de Paris).


«L'immeuble a tremblé, raconte un voisin»
 –        – Un voisin qui vit juste en face du garage était chez lui au moment de l'explosion. «J'ai entendu une explosion, l'immeuble d'en face a tremblé, j'ai cru à un attentat et je suis allé à le fenêtre. J'ai vu un homme assis sur le trottoir qui se tenait la jambe, visiblement très blessé», confie-t-il.

Un poste médical avancé a été  installé sur place. Les sauveteurs recherchaient d'éventuels disparus, notamment à l'aide de chiens qui auraient marqué un endroit sous les décombres, laissant craindre la présence d'une cinquième victime.

Un important dispositif policier a été déployé autour des lieux du sinistre afin de faciliter l’intervention de plusieurs dizaines de sapeurs-pompiers de Paris. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls est arrivé sur place peu après 17 heures.

Photo Benoît Hasse/Le Parisien
 
«L'immeuble a tremblé, raconte un voisin»

 – Un voisin qui vit juste en face du garage était chez lui au moment de l'explosion. «J'ai entendu une explosion, l'immeuble d'en face a tremblé, j'ai cru à un attentat et je suis allé à le fenêtre. J'ai vu un homme assis sur le trottoir qui se tenait la jambe, visiblement très blessé», confie-t-il.

Un poste médical avancé a été  installé sur place. Les sauveteurs recherchaient d'éventuels disparus, notamment à l'aide de chiens qui auraient marqué un endroit sous les décombres, laissant craindre la présence d'une cinquième victime.

Un important dispositif policier a été déployé autour des lieux du sinistre afin de faciliter l’intervention de plusieurs dizaines de sapeurs-pompiers de Paris. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls est arrivé sur place peu après 17 heures.

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VIDEO. Explosion à Paris : « Un grand trou est apparu » raconte un témoin


VIDEO. Explosion à Paris : « Il y a encore un risque » selon un pompier

Source : LeParisien.fr

mercredi 25 septembre 2013

La "rhétorique anti-Roms" de la France inquiète l'Europe

La Commission européenne a une nouvelle fois menacé mercredi la France de sanctions en rappelant que les Roms, citoyens européens, ont le droit de circuler librement dans tous les Etats-membres de l'UE.
Un camp illégal de Roms près de Nantes dans l'Ouest de la France, en 2010. © Reuters
"La libre circulation comme la liberté de résider dans un autre pays sont des droits fondamentaux (...) Si ces principes inscrits dans les Traités ne sont pas respectés, la Commission utilisera tous les moyens à sa disposition" pour sanctionner ces violations, a averti le porte-parole de la Commission Olivier Bailly. "Les Roms, comme tous les citoyens de l'UE, bénéficient de la liberté de circuler librement dans tous les Etats membres de l'UE et de résider dans un autre pays que leur pays d'origine", a-t-il rappelé.

mardi 24 septembre 2013

La nounou du fils de Yannick Noah accuse le couple d'esclavage


Rabra Bendjebbour, qui affirme s'être occupée pendant plusieurs mois du dernier fils du ternnisman, accuse la mère de l'enfant de l'avoir sous-payée et licenciée abusivement. Une audience de conciliation a lieu ce mardi au tribunal des prud'hommes de Bobigny.
                                   
«Elle ne prenait son fils dans ses bras que pour sortir dehors, devant les gens». Les propos de Rabra Bendjebbour à l'encontre d'Isabelle Camus, la compagne de Yannick Noah, sont d'une extrême dureté. «Yannick venait embrasser son fils une seule fois par jour, le soir, avant de le laisser dormir dans ma chambre et de me laisser s'occuper de lui comme si j'étais sa mère.»
Cette femme d'une cinquantaine d'années raconte que le couple s'est comporté avec elle comme le pire des patrons voyous. «Je les ai suivis pendant trois mois, en tournée, puis en vacances, et je me suis occupée de Joalukas nuit et jour, du lundi au dimanche, pour 950 euros par mois.»

«J'étais prise dans un tourbillon»

Tout commence en juin 2004. Rabra Bendjebbour avait l'habitude de faire quelques heures de ménage chez le directeur artistique des Enfoirés, qui souffle son nom au couple Noah-Camus quand celui-ci cherche une nounou. «Je suis arrivée chez eux dès la naissance du bébé, et dès lors je me suis retrouvée prise dans un tourbillon», raconte la nounou. Horaires à rallonge, aucun temps libre, liste de tâches à rallonge, salaire de misère, la nounou dresse un portrait calamiteux des parents du petit Joalukas. Leur collaboration s'achève finalement à l'automne 2004, après une dispute. «J'expliquais juste à Isabelle Camus que je n'étais plus prête à travailler jour et nuit! Elle m'a dit “dans ce cas-là, dégage”.»
Pourquoi porter plainte seulement des années plus tard?
 
La nounou affirme avoir traversé une période très difficile après cet épisode et avoir réalisé «combien elle était exploitée» en 2011. «Ma sœur a ouvert un restaurant, et j'en ai parlé à son comptable, qui m'a dit que j'avais été gravement sous-payée.» Joint par Le Figaro, l'avocat d'Isabelle Camus nous a dit que celle-ci ne souhaitait pas s'exprimer.
Les deux parties se rencontrent au tribunal des prud'hommes de Bobigny mardi et Rabra Bendjebbour est déterminée à porter l'affaire au pénal pour «esclavage» et «abus de confiance» si elle n'obtient pas satisfaction.

Une institutrice jugée après la mort accidentelle d'un éléve puni

L'institutrice du petit Khoren, retrouvé pendu accidentellement alors qu'il avait été exclu de sa classe à Arles, a tenté, souvent confusément, de s'expliquer devant le tribunal correctionnel sur la punition "anormalement longue" infligée à son élève

AFP/AFP/Archives - L'institutrice du petit Khoren, retrouvé pendu accidentellement alors qu'il avait été exclu de sa classe à Arles, a tenté, souvent confusément, de s'expliquer devant le tribunal correctionnel …plus  sur la punition "anormalement longue" infligée à son élève  moins 
Le tribunal correctionnel de Tarascon examine mardi la responsabilité d'une enseignante de primaire, dont un élève de 11 ans s'était pendu accidentellement alors qu'il avait été exclu de la classe.
Cette professeure des écoles, âgée d'une quarantaine d'années, est poursuivie pour "manquement à une obligation particulière de prudence" et "homicide involontaire", des délits passibles de cinq ans d'emprisonnement et 75.000 euros d'amende, a indiqué le parquet de Tarascon.
 

 
Laissé seul 45 mn dans un couloir
Le 26 mai 2011, Khoren Grimaldi, un élève de CM2, qui refusait de faire son travail, avait été exclu vers 09H00 de sa classe de l'Ecole Anne-Frank à Arles. Trois-quart d'heure plus tard l'enfant avait été retrouvé inconscient, pendu par son T-shirt à une patère du couloir. En arrêt cardio-respiratoire, l'élève n'avait pu être réanimé malgré un massage cardiaque pratiqué par les enseignants de l'école. Il devait décéder quatre jours plus tard à l'hôpital de la Timone à Marseille où il avait été transféré.
Selon l'avocat de la partie-civile, le bâtonnier de L'Ordre des avocats de Tarascon, Louis Sayn-Urpar, "Khoren a été laissé 45 mn sans surveillance" ayant même été "rejeté" alors qu'il avait demandé à deux reprises à sa maîtresse de pouvoir regagner sa place en classe.
Selon lui, les débats devant le tribunal devraient tourner autour de la question de "l'obligation de surveillance": "La réglementation départementale dit que les enfants ne doivent pas rester sans surveillance. Lorsqu'un élève est puni, cette surveillance doit être renforcée", estime-t-il.
"Dans la classe d'à côté, une enseignante qui avait elle aussi puni un élève, l'avait fait assoir sur une chaise face à la porte entr'ouverte", ajoute ainsi Me Sayn-Urpar.
L'avocat de l'enseignante, qui exerce toujours dans la même école arlésienne, n'a pu être joint par l'AFP.
L'autopsie a révélé que Khoren avait succombé à un ?dème cérébral, la compression des carotides ayant entraîné une asphyxie par manque d'afflux sanguin.
Un procès pour que "ça n'arrive plus"
Très vite l'enquête a conclu à "un jeu qui a mal tourné", a expliqué l'avocat de la partie civile, expliquant que le garçon présenté comme "bon élève, facétieux et aimant faire rire ses camarades" avait très probablement pris la maîtresse au mot, après qu"'elle lui eut dit +tu es inutile, va rejoindre les manteaux+".
Selon Me Sayn-Urpar, Khoren a dû perdre connaissance après s'être accroché à la patère et s'étrangler sous l'effet de son poids.
Le bâtonnier affirme que la volonté de la famille est que cette audience serve d'exemple "pour que ça n'arrive plus". "La famille Grimaldi attend de ce procès que la règlementation sur la surveillance des élèves soit durcie et que la formation des maîtres soit renforcée sur ce point", explique-t-il.
Les magistrats du tribunal correctionnel de Tarascon devraient mettre leur décision en délibéré.

Danse avec les stars 4 : le fils de Noémie Lenoir a "honte" pour sa mère !

News Télé
Le 28 septembre prochain, TF1 donnera le coup d'envoi de la quatrième saison de Danse avec les stars. Damien Sargue, Brahim Zaibat, Titoff, Keen’ V, Laurent Ournac mais aussi Laetitia Milot, TAL, Alizée, Laury Thilleman et Noémie Lenoir s'affronteront afin de décrocher le titre du meilleur danseur. Si Laetitia Milot a confié cette semaine au magazine Télé Star redouter l’ancienne Miss France et Noémie Lenoir, cette dernière pourrait s’avérer être une adversaire moins redoutable que la comédienne de Plus belle la vie ne le pense, et ce malgré une récente expérience au Crazy Horse. Kelyan, le fils de 8 ans de la top-modèle, n’est en effet pas très convaincu du talent de sa jolie maman…
"Quand je danse, mon fils me demande d'arrêter ! Et quand je lui ai dit que je faisais l'émission, il m'a répondu : "J'ai honte. Pas pour moi, mais pour toi !", a révélé le mannequin au magazine télé.
 
Noémie Lenoir n'est guère plus optimiste. Selon elle, elle n’a "ni le corps, ni l’énergie des autres participantes".
Si la beauté de 34 ans ne part pas confiante, c’est parce qu’elle n’a aucune notion de danse de salon. "Etant une très mauvaise danseuse, c'est un vrai challenge pour moi ! J'avais besoin de me fixer un nouveau défi", avait-elle précédemment expliqué sur MYTF1.

Noémie Lenoir pourra cependant se reposer sur ses 5 heures d’entraînement par jour et l’expertise du danseur Christian Millette pour épater le jury et les téléspectateurs. "N'ayant pas du tout le rythme dans la peau, je compte beaucoup sur mon partenaire de danse. Si j'ai un bon feeling avec lui, le plus dur sera fait ! Mais il devra se montrer patient et me rassurer, car j'ai souvent tendance à m'auto-flageller...", avait-elle ajouté. Noémie Lenoir n'a plus que quelques jours pour être au point !

Avec Cover Media
http://news-france.blogspot.com/2013/09/danse-avec-les-stars-4-le-fils-de.html

Des lingots d'or volés à bord d'un avion Air France

AFPVendredi, la compagnie avait déjà fait parler d'elle quand les forces de l'ordre avaient procédé à la saisie record de plus de 1,3 tonne de cocaïne pure, transportée dans un avion d'Air France en provenance de Caracas. Le butin s'élève à environ 1,6 million d'euros.
Une cinquantaine de kilos d'or en lingots ont été volés jeudi dernier à la société de transport de valeur Brink's dans les soutes d'un avion au départ de Paris et à destination de la Suisse, a-t-on appris lundi. L'or avait été chargé à l'aéroport de Roissy dans les soutes d'un avion de ligne du groupe Air France à destination de Zurich. Un butin qui, au cours de l'or lundi, s'élevait à environ 1,6 million d'euros.
Tous les jours, ce type de chargement est effectué dans cet avion, les employés de la Brink's restant sur le tarmac jusqu'au départ de l'avion, autour de 13h00. Les voleurs ont «très certainement profité de complicités aéroportuaires», a précisé une source aéroportuaire.
L'enquête, confiée à la section de recherche de la gendarmerie du transport aérien, s'annonce «complexe», le vol n'ayant été découvert par la Brink's que le lendemain, vendredi, en Suisse. Outre le transport de valeurs par avion, cette société américaine emploie 1.800 agents de sûreté qui réalisent dans des aéroports français l'inspection des passagers, des bagages cabine et des bagages de soute, ainsi que le contrôle des véhicules.
Vendredi, les forces de l'ordre avaient procédé à la saisie record de plus de 1,3 tonne de cocaïne pure, transportée dans un autre avion d'Air France en provenance de Caracas.
 
http://news-france.blogspot.com/2013/09/des-lingots-dor-voles-bord-dun-avion.html

Saisie record de cocaïne : cinq suspects déférés à Paris

Saisie record de cocaïne : cinq suspects déférés à Paris

Saisie record de cocaïne : cinq suspects déférés à Paris

L'enquête sur la saisie record de 1,3 tonne de cocaïne commence à porter ses fruits. Cinq personnes, suspectées d'avoir fomenté cette tentative d'importation d'une marchandise évaluée à 50 millions d'euros, ont été déférées à Paris, mardi 24 septembre, en vue de leur mise en examen, quatre jours après leur arrestation. Les cinq suspects sont trois Italiens, dont deux ont 45 ans et l'un 40 ans, et deux Britanniques de 26 et 30 ans. Ils doivent être présentés dans la journée demardi à deux juges d'instruction de la Juridiction interrégionale spécialisée. La garde à vue d'une sixième personne, également arrêtée vendredi, a été levée lundi.
 
La drogue, qui semblait destinée à l'organisation calabraise 'Ndrangheta et peut-être en partie à la Grande-Bretagne, se trouvait dans une trentaine de valises enregistrées sous des noms de passagers fictifs. Avec 1,382 tonne, il s'agit de la plus importante saisie de cocaïne jamais réalisée en France métropolitaine dans le cadre d'une procédure judiciaire.
Cette quantité représente une valeur à la revente d'environ 50 millions d'euros au prix de gros, ou de 240 à 350 millions d'euros au détail.

Les enquêteurs cherchent à comprendre comment une telle quantité de drogue a pu être embarquée à bord d'un vol d'Air France, qui a ouvert de son côté une enquête interne après la saisie effectuée vendredi. Caracas a annoncé lundi que trois soldats appartenant à la Garde nationale avaient été arrêtés sur des soupçons de complicité.
http://news-france.blogspot.com/2013/09/saisie-record-de-cocaine-cinq-suspects.html

Nouveau-né tué lors d'un mariage : 2 ans de prison requis

Nouveau-né tué lors d'un mariage : 2 ans de prison requis

La balance, symbole de la justice             
[Jacques Demarthon / AFP/Archives]

        
Une peine de cinq ans de prison, dont trois ans avec sursis, a été requise jeudi devant la cour d'assises de Saône-et-Loire à l'encontre d'une quadragénaire jugée pour le meurtre de son nouveau-né en 2006 lors d'un mariage.
Le 22 octobre 2006, en marge d'une fête de mariage à Saint-Martin-sous-Montaigu (Saône-et-Loire), Sylvie Dedieu, 44 ans, avait donné naissance, seule dans les toilettes de la salle des fêtes, à un bébé retrouvé quelques heures plus tard sans vie dans une poubelle. L'enfant, de sexe féminin, était né à terme.
L'avocate générale Aline Saenz-Cobo a déclaré que le décès de l'enfant était lié à un "double mécanisme", à savoir les "circonstances traumatiques de l'accouchement" et le placement du corps dans un sac poubelle.

Estimant que l'accusée "s'était mise dans la situation de devoir extirper l'enfant et de lui imposer des violences" lors de l'accouchement et de "n'avoir pas appelé du secours", la magistrate a demandé la requalification des faits en "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner".
"Le fait de placer l'enfant tout de suite dans un sac plastique et de le fermer, c'est a minima un défaut de soins", a-t-elle poursuivi, précisant que dans le cas où la privation de soins a entraîné le décès de l'enfant, la peine encourue est de trente ans de réclusion.

Mme Saenz-Cobo a toutefois requis une peine de cinq ans de prison dont trois avec sursis, la partie ferme étant alors "aménageable", notamment au regard de la personnalité de Mme Dedieu, "une personne bien". Elle a également dit "admettre une atténuation de la responsabilité" de la quadragénaire au moment des faits en raison de son déni de grossesse, que la magistrate a considéré comme étant un "déni partiel".
L'avocat de la défense, Me Dominique Galmiche s'est félicité au début de sa plaidoirie de "l'abandon de la qualification la plus grave, celle de meurtre".
"On vient de replacer le débat dans des proportions beaucoup plus justes. Pour moi, l'acquittement s'impose", a dit l'avocat, qui a réfuté tout "coup volontaire" de sa cliente sur l'enfant.
Le verdict est attendu dans la journée.
AFP
http://news-france.blogspot.com/2013/09/nouveau-ne-tue-lors-dun-mariage-2-ans.html

Le calvaire d'un enfant de 4 ans violé au parloir

Le calvaire d'un enfant de 4 ans violé au parloir

La salle d'audience de la cour d'assises du Bas-Rhin, le 5 avril 2007             
Viols répétés, notamment au parloir d'une prison, multiples agressions sexuelles enregistrées sur vidéos: c'est pour ce calvaire imposé à un petit garçon de 4 ans que comparaissent lundi a Strasbourg sa propre mère et son beau-père devant les assises du Bas-Rhin.
 
 
Après avoir changé plusieurs fois de versions au cours de l'enquête, Lionel Barthélémy a finalement reconnu avoir violé le fils de sa compagne alors âgé de 4 ans, lors d'une visite au parloir à la maison d'arrêt de Toul (54) en février 2010.
 
Incarcéré depuis août 2009, l'homme que les experts psychiatriques décrivent comme agressif à tendances schizophrènes, purgeait une peine de trois ans pour des violences sur son ex-compagne.
Pour accomplir son geste, il aurait bénéficié de l'aide de sa compagne, la mère du petit garçon. A l'époque, cette dernière était enceinte depuis environ 6 mois d'une petite fille que son compagnon n'a pas reconnue.
 
Ce jour-là, dans le parloir, Sabrina Bonner aurait fait mettre à genoux son fils sur une chaise avant de lui bander les yeux avec son écharpe, puis elle l'aurait maintenu par les bras pendant que son beau-père le violait.
"Mme Bonner s'est rendue complice du crime en conduisant son fils au parloir par deux fois dans la même journée: une fois le matin où il y a eu un premier viol et une seconde fois l'après-midi en sachant parfaitement ce qui allait à nouveau se produire", a déploré Me Yannick Pheulpin, agissant au nom de l'association Themis, représentant légal du petit garçon.
 
Les surveillants de la prison n'ont pas empêché ce geste, ils ne l'ont même pas constaté. Selon des éléments de l'enquête, des sacs poubelle obstruaient la porte vitrée du parloir de cette prison où, comme dans d'autres établissements pénitentiaires, selon les avocats, une certaine tolérance est acceptée pendant les visites conjugales.
Me Pheulpin envisage déjà "d'assigner le centre de détention de Toul en responsabilité à la fin du procès aux assises".
 
Des preuves filmées
De son propre aveu, la mère du garçon se serait elle-même livrée à plusieurs viols et agressions sexuelles sur son fils entre 2009 et 2010.
Par crainte peu avant la remise en liberté de son compagnon ou par culpabilité selon les versions données par l'accusée, Sabrina Bonner s'était présentée volontairement à la brigade de gendarmerie de Wissembourg (67), le 30 mai 2011.
 
Elle avait alors avoué avoir pratiqué certains actes sexuels sur son fils, reconnaissant dès sa première audition la quasi-totalité des faits qui lui sont reprochés.
Selon l'un de ses avocats, Me Dominique Bergmann, elle aurait toujours agi sous le coup de la menace et des instructions données par son compagnon depuis sa cellule à l'aide d'un téléphone portable.
"Mon client reconnaît le viol au parloir, un acte accompli à l'initiative de Mme Bonner. Mais il nie les autres faits et sa complicité dans les autres viols" affirme l'avocat de Lionel Barthélémy, Me Matthieu Airoldi.
 
Selon les enquêteurs, ce téléphone portable aurait également servi au détenu à écouter en direct un des viols pratiqués par la mère, une hypothèse attestée par une vidéo.
De nombreuses vidéos contenant des images de viols et d'agressions sexuelles mettant en scène la mère et l'enfant ont été retrouvées lors des perquisitions.
 
A plusieurs reprises, Sabrina Bonner se serait elle-même filmée avec son téléphone portable et aurait fait parvenir les cartes à puce au beau-père du jeune garçon en détention.
Ces images insoutenables, comme s'accordent à le reconnaître les avocats des trois parties, devraient être présentées aux jurés mardi.
 
Si l'avocat représentant le petit garçon n'a pas demandé le huis clos pour ce procès qui durera trois jours, le juge pourrait imposer un huis clos partiel notamment pendant la diffusion de ces images, selon les avocats.
 
Selon son avocat Dominique Bergmann, la jeune femme est "totalement consciente" de la gravité des faits reprochés. "Elle ne cherchera pas à minimiser sa responsabilité et elle se prépare maintenant à affronter trois jours d'un procès terrible".
 
Le petit garçon aujourd'hui âgé de huit ans a été placé en foyer d'accueil.
Les deux accusés, en détention provisoire depuis le 1er juin 2011, encourent 20 ans d'emprisonnement.
 
 
AFP

Pont de Bir-Hakeim à Paris : un homme pousse deux ados dans la Seine

Pont de Bir-Hakeim à Paris : un homme pousse deux ados dans la Seine

Une vue du pont de Bir-Hakeim à Paris.            
       
Un homme a poussé dimanche deux adolescentes de 17 ans assises le long du pont de Bir-Hakeim à Paris. L’information a été révélée ce mercredi. L’auteur des faits n’a pu expliquer son geste aux policiers.
Dans sa chute, l’une des deux jeunes filles a heurté l’un des piliers du pont qui enjambe la Seine avant de tomber dans le fleuve. Témoin de la scène, le serveur d’une péniche a prévenu les secours avant de se jeter à l’eau pour porter secours à la malheureuse. Finalement repêchée par la brigade fluviale, elle souffre de multiples factures.
 
La deuxième jeune fille a eu plus de chance : elle a réussi à s’agripper au pont évitant ainsi de chuter dans la Seine.
L’auteur des faits a pu être interpellé. Selon les policiers, il n’était pas sous l’emprise de l’alcool au moment des faits et ne souffrirait pas de troubles psychiatriques.
 
Placé en garde à vue, il n’a pu expliquer son geste parlant d’un « simple accident ». Il a été incarcéré et mis en examen pour « tentatives d’homicides volontaire ».
 

dimanche 22 septembre 2013

Drogue: 1,3 tonne de cocaïne saisie dans un avion d'Air France

La police anti-drogue française a récemment fait à bord d'un avion d'Air France en provenance de Caracas une exceptionnelle découverte: 1,3 tonne de cocaïne pure, simplement entreposée dans une trentaine de valises qui n'appartenaient à aucun passager. AFP/AFP - La police anti-drogue française a récemment fait à bord d'un avion d'Air France en provenance de Caracas une exceptionnelle découverte: 1,3 tonne de cocaïne pure, simplement entreposée dans une trentaine …plus  de valises qui n'appartenaient à aucun passager.   moins 
La police anti-drogue française a récemment fait à bord d'un avion d'Air France en provenance de Caracas une exceptionnelle découverte: 1,3 tonne de cocaïne pure, simplement entreposée dans une trentaine de valises qui n'appartenaient à aucun passager.
Au cours d'une conférence de presse samedi soir dans les locaux de l'Office Central pour la Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (Octris) à Nanterre (Hauts de Seine), le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a félicité les enquêteurs pour cette prise, la plus importante jamais réalisée en France métropolitaine. Il a ajouté que "plusieurs" personnes avaient été placées en garde à vue.
C'est une enquête de plusieurs semaines, menée en collaboration avec les polices espagnole, britannique et néerlandaise qui a permis la saisie d'une telle quantité de cocaïne, qui représente à la revente une valeur d'environ 200 millions d'euros. Cette affaire "illustre l'intérêt d'un renforcement de la coopération internationale dans la lutte contre les trafiquants", a estimé M. Valls.
"Les trafiquants mettent en place à chaque fois de nouvelles stratégies (?) ils diversifient les routes de la drogue. Nous devons donc adapter en permanence nos services, nos stratégies, à ces évolutions", a-t-il ajouté.
"Plusieurs membres d'une organisation criminelle" ont été placés en garde à vue au cours des dernières 24 heures a précisé le ministre, qui a toutefois refusé d'en préciser le nombre.
Il s'est adressé à la presse dans une salle de l'Octris où avaient été empilées une trentaine de valises de toutes les couleurs, et des pains de cocaïne, tellement nombreux qu'ils ne tenaient pas sur les tables et avaient dû être stockés contre les murs.
Le ministre a salué le "formidable travail des services de police et de justice qui a permis cette saisie exceptionnelle".
Incroyable saisie dans un avion Air FranceSelon une source proche de l'enquête les valises avaient été enregistrées à Caracas à bord d'un vol Air France à destination de Paris, mais elles ne correspondaient pas à des passagers embarqués. L'incroyable cargaison a été récemment saisie lors de l'arrivée de l'appareil à l'aéroport de Roissy.
"Toujours plus d'imagination"
Les enquêteurs travaillaient sur cette affaire et une information judiciaire avait été ouverte "il y a quelques semaines" a confié à l'AFP une source proche du dossier, qui a précisé que la saisie ne résultait pas d'un contrôle douanier.
Depuis le début de l'année quatre tonnes de cocaïne ont été saisies en France, a précisé le ministre, qui a assuré que depuis janvier le nombre de réseaux de trafics de drogue démantelés a progressé de 12%.
"Une telle saisie, dans de telles circonstances est tout bonnement exceptionnelle" a indiqué à l'AFP le commandant de police Mohamed Douhane, Secrétaire national du syndicat Synergie-Officiers. "Maintenant l'enquête de l'Octris va devoir déterminer s'il y a eu d'éventuelles complicités, que ce soit au sein de la compagnie ou au sein des aéroports, de départ ou d'arrivée".
Il est en effet peu probable que les trafiquants "qui font preuve de toujours plus d'imagination et de professionnalisme" espéraient qu'une telle quantité puisse arriver et débarquer sur les tapis de livraison de bagages à Roissy sans attirer l'attention, a-t-il ajouté.
Selon lui cette saisie illustre bien le fait que les trafiquants sud-américains font désormais porter leurs efforts sur l'Europe et la France, le marché américain étant saturé.
Le Venezuela est considéré par les Nations unies comme un pays non producteur de drogues mais son territoire est de plus en plus traversé par les narcotrafiquants. En 2012 quelque 45 tonnes y ont été saisies, selon des chiffres officiels.
http://news-france.blogspot.com/2013/09/drogue-13-tonne-de-cocaine-saisie-dans.html

mercredi 18 septembre 2013

Une journaliste d’i>Télé «fait péter le décolleté»

Capture d'écran de la séquence où la journaliste d'i>Télé Léa Salamé se vante en direct d'avoir «fait péter le décolleté», le 28 août 2013. 20 MINUTES

Capture d'écran de la séquence où la journaliste d'i>Télé Léa Salamé se vante en direct d'avoir «fait péter le décolleté», le 28 août 2013.TÉLÉVISION - Se croyant hors antenne, Léa Salamé a lancé mercredi soir en direct sur la chaîne d’information en continu un «J'ai fait péter le décolleté!» retentissant...

Les aléas du direct. Mercredi soir, sur i>Télé, alors  que le journaliste Pascal Praud était sur le point de clore son émission «20 heures foot» et tentait de passer l’antenne à sa collègue Léa Salamé, celle-ci a lancé une remarque pour le moins incongrue en direct.
«A 20h30, tous les soirs désormais, si vous avez manqué le 20h, c'est le grand rendez-vous de Léa Salamé avec les infos. Évidemment la Syrie est encore une fois à la une de l'actualité…», commence Pascal Praud, faisant allusion au sommaire de la nouvelle émission de débat de sa consœur «On ne va pas se mentir». «J'ai fait péter le décolleté!», répond la journaliste, que l'on ne voit pas à l'antenne, qui n’a visiblement pas de retour, mais dont le micro est déjà ouvert.
Tentant d’enchaîner, le journaliste sportif essaye une nouvelle fois de parler Syrie, et c’est un chroniqueur présent en plateau qui lui vient à l’aide, lançant «Elle ne nous entend pas visiblement...». Quelques minutes plus tard, Léa Salamé apparaît, impassible, à l’écran, dans une robe beige effectivement décolletée. L’extrait a fait le tour des réseaux sociaux ce jeudi. Un bon moyen de faire décoller les audiences de sa nouvelle émission et de la nouvelle grille de la chaîne d’information en continu, inaugurée lundi.

>> Regardez la séquence, capturée par Pure Médias:


*Bérénice Dubuc
     
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    VIDEO. Le bijoutier de Nice rejette toute culpabilité

    Un braqueur a été tué par balles par un bijoutier, mercredi 11 septembre 2013 à Nice.

    FAITS DIVERS – Sur «Europe 1», Stephan Turk dit avoir des «regrets» pour la mort d’Anthony Asli mais rejette la responsabilité sur la famille…

    Des regrets que son agresseur soit mort mais pas de culpabilité reconnue. Stephan Turk, le bijoutier de Nice qui a tué son agresseur, Anthony Asli mercredi dernier lors d’un bracage, s’exprimait mercredi matin sur Europe 1. Celui qui dit «ne pas être un justicier» dit avoir «des regrets» «parce qu’il est mort». Mais le commerçant ne reconnaît pas de culpabilité. «Pourquoi coupable? J’ai tiré sur le scooter.» «Je lui ai dit d’arrêter, je voulais récupérer la marchandise. (…) Je voulais arrêter le scooter, c’est tout.»

    Pour la vidéo originale en intégralité, cliquez ici.

    «Pourquoi il est venu chez moi m’agresser, me voler?»

    Le bijoutier nie toute volonté de tuer. «J’aurais eu l’occasion de lui tirer dessus [dans le magasin], il était à un mètre de moi.» «Pourquoi il est venu chez moi m’agresser, me voler?» s’interroge le commerçant pour qui le véritable «responsable» de la tragédie est «le père» de la victime, en référence à son éducation. Il a alors rappelé que son agresseur avait déjà été impliqué dans 14 autres affaires. D’ailleurs, à la famille d’Anthony Asli, Stephan Turk lance: «Je suis désolé qu’il soit mort mais ce sont eux les responsables.»

    «Je me retrouve comme un ballon entre les pieds des politiques»

    Interrogé sur son sentiment d’être soutenu par autant de personnes, notamment sur les réseaux sociaux, Stephan Turk, estime que «c’est important pour la société» et qu’il «faut arranger les problèmes de sécurité». «Je me retrouve comme un ballon entre les pieds des politiques», observe l’homme qui dit ne plus rien faire que lire les journaux.
    >> Vous faites partie des 1.6 million de fans de la page Facebook de soutien au bijoutier? Vous ne comprenez pas l'engouement suscité par le geste du bijoutier? Contactez-nous pour nous donner votre point de vue en nous écrivant à reporter-mobile@20minutes.fr ou réagissez dans les commentaires.
    Alexandre Sulzer

    Il n'y aura plus d'élections de "Mini Miss" en France

    En France, les fillettes et jeunes filles de moins de 16 ans ne pourront plus rivaliser de beauté et talent au cours de concours de beauté et autre élection de Mini Miss. En effet, dans le cadre de la loi sur l'égalité des hommes et des femmes, le Sénat vient de les interdire.

    Concours de Mini Miss, à Bobigny (France), septembre 2012 © Reuters
    Les petites filles ne seront pas "mini miss", du moins pas en France. Le Sénat a interdit les concours de beauté pour les enfants de moins de 16 ans, dans le cadre de l'étude du projet de loi sur l'égalité des femmes et des hommes dans la nuit de mardi à mercredi.

    L'amendement de la centriste Chantal Jouanno prévoit une sanction de deux ans d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende pour les personnes qui organisent ces concours, "qui ne concernent que les filles", a souligné l'ancienne ministre. "Ne laissons pas nos filles croire dès le plus jeune âge qu'elles ne valent que par leur apparence. Ne laissons pas l'intérêt commercial l'emporter sur l'intérêt social", a-t-elle lancé en soulignant la nécessité de protéger les enfants.

    En revanche, un autre amendement de Chantal Jouanno encadrant l'activité des mannequins enfants a été rejeté.

    >>> Les concours de beauté pour enfants est un sujet qui passionne les Américains. On se souvient de Little Miss Sunshine, mais existe également cette émission de téléréalité, où mères et filles sont en concurrence.


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    http://news-france.blogspot.com/2013/09/il-ny-aura-plus-delections-de-mini-miss.html

    lundi 16 septembre 2013

    Dernier hommage à Valérie Benguigui au cimetière du Montparnasse

    Ses amis du 7e art sont venus lui dire adieu et soutenir sa famille 
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    Dernier hommage à Valérie Benguigui au cimetière du Montparnasse
    Valérie Benguigui, décédée lundi 2 septembre, a été enterrée au cimetière du Montparnasse ; ses amis étaient venus nombreux lui rendre un dernier hommage.
    La vie oscille entre fous rires et tragédies, bonheur et injustice. Une palette d'émotions que maîtrisait à la perfection la talentueuse actrice Valérie Benguigui. Après s'être battue durant trois ans contre un cancer du sein, avoir vécu deux rémissions, elle a été emporté lundi soir à seulement 47 ans. La réalisatrice Lisa Azuelos qui l'avait fait jouer dans "Comme t'y es belle", ou encore son ami et complice Patrick Bruel, auquel elle a donné la réplique dans Le Prénom, pièce de théâtre sur-mesure pour le tempérament fougueux de Valérie Benguigui, lui rendaient hommage vendredi après-midi au cimetière du Montparnasse.
     
    Les amis de la comédienne étaient venus nombreux soutenir sa famille dans cette épreuve douloureuse, notamment ses deux garçons, César (19 ans) et Abraham (15 ans). Les actrices Géraldine Nakache et Leïla Bekhti, qui lui donnaient la réplique dans le premier film de Lisa Azuelos sont apparues émues derrière leurs lunettes de soleil, à l'instar du réalisateur Alexandre Arcady qui l'avait choisie pour son film sur la mort du jeune Ilan Halimi, prochainement sur les écrans.
     
    Kad Merad, avec qui elle a joué dans Pur Week-end en 2007, Olivier Baroux qui l'avait fait tourner dans son film L'Italien (2010), Patrick Bruel et l'actrice Judith El Zein - ses partenaires dans le Prénom -, l'acteur Laurent Bateau, avec lequel elle vient de tourner Fiston, de Pascal Bourdiaux - en salles le 24 février 2014 -, Yvan Attal, Manu Payet, Marina Foïs, Sandrine Kiberlain, Dominique Segall, Charles Berling sont venus la saluer une dernière fois.
     
    Sur une musique d'ouverture de Gnarls Barkley, Crazy, ses proches ont lu une lettre de François Florent, fondateur des célèbres cours de théâtre qu'elle a suivis. Entre Michelle de Gérard Lenormand, Ce n'est rien de Julien Clerc, ses proches se sont tour à tour exprimés sur leur amie disparue trop tôt, comme Mathieu Delaporte, l'auteur du Prénom, qui confiait ainsi "qu'elle a incarné le rôle de Babou au point de le réécrire".
    Tous l'ont accompagnée jusqu'à sa dernière demeure, entre Jean Marais et Philippe Noiret ; Valérie Benguigui a rejoint les légendes du 7e art français. Les notes de Chante la vie de Michel Fugain résonnent encore au cimetière du Montparnasse.

    Evelyne Dhéliat, la discrétion combative - L’animatrice revient sur sa lutte contre son cancer

    Evelyne Dhéliat, la discrétion combative

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    EVELYNE DHELIAT
    Victime d’un cancer l’année dernière, Evelyne Dhéliat s’est battue comme le bélier qu’elle est, sans relâche mais en toute discrétion. De retour dans les téléviseurs des Français, elle se confie enfin.
    «A aucun moment je n’ai cédé à la panique» confie Evelyne Dhéliat à Paris Match. Et pourtant, c’est bien une coup de massue qui s’est abattu sur le quotidien de l’animatrice météo l’an passé. Un cancer comme un éclair est venu mettre en suspens le plus long CDI de TF1, signé en 1971. Mais après cinq mois d’absence, incompris par certains, Évelyne Dhéliat est revenue à l’antenne et profite de cette rentrée pour se livrer.
     
    Du temps de son cancer, la douce Madame météo ne s’est exprimée que par deux communiqués. Mais les questions que se sont posés les téléspectateurs de TF1 à son sujet lui ont «fait chaud au cœur». Evelyne Dhéliat le sait, personne ne lui a «tenu rigueur» de sa «discrétion de nature», bien au contraire. A l’antenne depuis plus de trente ans, elle a fait de la discrétion sa ligne de conduite et c’est sûrement la clef de son succès. Elle laisse aux téléspectateurs le choix de la conduire ou non à la retraite, «c’est eux qui décideront !».
     
    Mais désormais, «tout va bien» pour Évelyne Dhéliat. Remise de son cancer, elle s’est replongée corps et âme dans un métier qu’elle adore. Pour Paris-Match, elle se décrit elle-même comme «une femme incroyablement optimiste». Un trait de caractère qu’elle a transmis à sa fille Olivia et à ses deux petites filles de 6 et 10 ans. Très jeune grand mère de 65 ans, la grande prêtresse du ciel ne se sent pas «mamie» grâce à son regain d'activités et souhaite bien que cela dure.

    L'Etat propose 12 000 euros à un homonyme incarcéré par erreur

    L'Etat propose 12 000 euros d'indemnisation à un quadragénaire emprisonné cinq mois, dont deux à la prison de la Santé, par erreur, car il avait été confondu avec un homonyme.
    L'Etat propose 12 000 euros d'indemnisation à un quadragénaire emprisonné cinq mois, dont deux à la prison de la Santé, par erreur, car il avait été confondu avec un homonyme. (Photo Boris Horvat. AFP)
    L'HISTOIRE

    Le quadragénaire a passé cinq mois en prison il y a douze ans, car il avait été confondu avec un violeur d'enfants.

    Un homme de 40 ans, emprisonné par erreur pendant plus de cinq mois pour être l’homonyme d’un violeur d’enfants condamné par contumace, s’est vu reconnaître son préjudice par l’Etat, qui lui propose 12 000 euros d’indemnisation, selon son avocat.
     
    Selon son conseil, cette décision est une première, car, n’étant que l’homonyme du condamné, l’homme ne pouvait théoriquement prétendre à une indemnisation : la loi ne prévoit officiellement de dédommagement qu’en cas de relaxe, d’acquittement ou de non-lieu.
    «C’est certes une victoire, mais la somme proposée est parfaitement dérisoire : on se moque de nous», a dénoncé auprès de l’AFP Me Frédéric Berna, l’avocat de Mohamed Camara, un Français né à Conakry (Guinée) en 1973, tout comme son homonyme condamné à 20 ans de réclusion criminelle par contumace en 2001 par la Cour d’assises de Paris.
     
    Le calvaire de Mohamed Camara, qui réside aujourd’hui à Nancy, avait commencé en juillet 2001 dans un train Paris-Bruxelles, lorsqu’il s’était fait arrêter en vertu d’un mandat d’arrêt international délivré contre son homonyme. Il avait passé trois mois à la prison Saint-Gilles de Bruxelles avant d’être extradé vers la France, où il a passé deux autres mois de détention à la prison parisienne de la Santé. «Il a finalement été libéré le 31 décembre 2001, contre l’avis du parquet, car les victimes et la famille du condamné ne le reconnaissaient pas», a expliqué Me Frédéric Berna.
    Le procureur général de Cour d’appel de Paris a ensuite admis que la décision de remise en liberté, «bien qu’elle ne soit ni un non-lieu, ni une relaxe, ni un acquittement», devait entraîner réparation, «l’esprit du texte devant l’emporter sur sa lettre».
     
    L’agent judiciaire de l’Etat, chargé de proposer une indemnisation, a reconnu un «choc carcéral important» au malheureux homonyme, mais a contesté un lien de causalité avec les problèmes psychiatriques qu’il a développés à la suite de son incarcération, et a proposé 12 000 euros de dommages et intérêts.
    «C’est fou ! Pour 5 mois de détention, totalement indue, c’est une somme parfaitement ridicule», a dénoncé Me Berna, qui réclame 180 000 euros. La décision du premier président de la Cour d’appel de Paris doit être rendue avant la fin de l’année.
    AFP
    http://news-france.blogspot.com/2013/09/letat-propose-12-000-euros-un-homonyme.html

     
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